ãäÊÏíÇÊ ÇáÊÕÝíÉ æ ÇáÊÑÈíÉ ÇáÓáÝíÉ  
     

Left Nav ÇáÑÆíÓíÉ ÇáÊÚáíãÜÜÜÇÊ ÞÇÆãÉ ÇáÃÚÖÇÁ ÇáÊÞæíã ÇáÈÍË ãÔÇÑßÇÊ Çáíæã ÇÌÚá ßÇÝÉ ÇáÃÞÓÇã ãÞÑæÁÉ Right Nav

Left Container Right Container
 
  #1  
ÞÏíã 09 Jul 2013, 02:43 PM
ßÑíã ÒäÊíÓí
ÒÇÆÑ
 
ÇáãÔÇÑßÇÊ: n/a
ÇÝÊÑÇÖí Ibn Taïmiya et la mariolatrie


Finalement, j'en ai fait un article :


Ibn Taïmiya et la mariolatrie

(Partie 1)

Certaines personnes sensées assument qu’il est possible de se représenter le crédo de la plupart des confessions à l’exception de celui des chrétiens ; ceux qui l’ont composé ne se rendaient pas compte de ce qu’ils disaient, car ils parlaient avec ignorance ; c’est ce qui les a poussés à former des concepts complètement contradictoires. D’où la parole d’un spécialiste disant que si dix chrétiens se réunissaient pour polémiquer, ils en sortiraient avec une onzième tendance. Selon une autre savant, si tu interrogeais simplement une famille chrétienne sur leur croyance, le père, la mère et le fils auraient tous les trois une opinion différente. [Ibn Taïmiya el jawâb e-sahîh (3/299)].

Ibn Taïmiya a dit dans : el jawâb e-sahîh li man baddala dîn el Masîh (2/10-15) « Allah révèle à deux endroits du Coran : (Ceux qui disent qu’Allah est le Messie le fils de Mariam ont mécru) [Le Repas Céleste ; 17]. Il a dit également : (Ceux qui disent qu’Allah est le troisième de « trois » ont mécru). [Le Repas Céleste ; 73] (et ne dites pas « trois » ; cessez, cela vaut mieux pour vous). [Les femmes ; 171]. Comme il a dit : (Les chrétiens dirent : « Le Messie est le fils d’Allah). [Le repentir ; 30]. Les chrétiens ont donc avancé ses trois opinions à la fois, bien que certains savants s’imaginent que certains versets s’adressent à une catégorie et que les autres s’adressent à une autre. Certains exégètes, en effet, à l’instar d’ibn Jarîr e-Tabarî, e-Tha’labî et bien d’autres relatent parfois la tendance Jacobite disant que Jésus est Dieu ; parfois, celle des Nestoriens disant qu’il est le Fils de Dieu ; d’autres fois celle des Marîmâniya (la mariolatrie) disant que Dieu est le troisième de trois dieux (dans un autre passage, il impute cette tendance à ibn Hazm voir 4/256) ; et d’autres fois enfin celles des Melkites disant qu’il est Allah. Ils interprètent le Verset thâlithu thalâtha en disant qu’il s’agit du Père, du Fils, et du Saint-Esprit.

En vérité : ces Versets font allusion à la fois à toutes ces tendances auxquelles adhèrent les sectes chrétiennes les plus connues que sont les Melkites, les Jacobites, et les Nestoriens. Toutes reconnaissent les trois hypostases : le Père, le Fils, et le Saint-Esprit. Autrement dit, ils prétendent qu’Allah est le troisième de trois (dieux), que Jésus est le fils de Dieu, et que Jésus est Dieu. Toutes s’accordent à dire que la nature divine s’est unifiée (ou a fusionné) avec la nature humaine par l’intermédiaire de la Parole. Toutes reconnaissent le symbole de Nicée disant : « Nous croyons en un seul Dieu, le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre, de toutes choses visibles et invisibles. Nous croyons en un seul Seigneur, Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu, né du Père avant tous les siècles, Dieu venu de Dieu, engendré et non créé, d’une même substance que le Père et par qui tout a été fait ; qui, pour nous les hommes et pour notre salut, est descendu des cieux et s’est incarné par le Saint-Esprit dans la vierge Marie et a été fait homme. [Il a été crucifié sous Ponce Pilate, il a souffert et il a été mis au tombeau. Il est ressuscité des morts le troisième jour, conformément aux écritures : il est monté aux cieux où il siège à la droite du Père. De là, il reviendra dans la gloire pour juger les vivants et les morts et son règne n’aura pas de fin. Nous croyons en l’Esprit-Saint, qui règne et donne la vie, qui procède du Père (par le Fils), qui a parlé par les prophètes.] »

Ainsi, concernant les Versets : (ne dites pas « trois ») et (Ceux qui disent qu’Allah est le troisième de « trois » ont mécru) ; ils les interprètent selon leur fameuse conception de la Trinité, celle dont fait mention leur symbole. Aux yeux de certains savants, le Verset disant qu’Allah est le Messie serait la parole des Jacobites, tandis que thâlithu thalâtha serait celle des chrétiens qui adhèrent au Père, au Fils, et au Saint-Esprit ; ils font trois dieux de ses trois hypostases ; il est possible de désigner chacune d’entre elles comme étant un dieu et un Seigneur. Une autre tendance avance qu’il s’agit en fait de Jésus et de sa mère auxquels les chrétiens attribuent la divinité.

Au sujet du Verset (Ceux qui disent qu’Allah est le troisième de « trois » ont mécru), e-Suddî commente : « Il correspond aux paroles des chrétiens disant qu’Allah est Jésus et sa mère conformément au Verset : (Est-ce toi qui a demandé aux hommes : « Vouez la divinité à moi et à ma mère en dehors d’Allah). » Il existe une troisième tendance qui, au demeurant, est la plus étrange d’entre toutes et qui est celle d’Abû Sakhr (mort en 189 h. ndt.). Il affirme en effet que le Verset concerne à la fois les Juifs disant que ‘Uzaïr (probablement Esdras ndt.) est le fils d’Allah et les chrétiens disant que c’est Issa. Sa’îd ibn el Batrîq (qui fut un grand historiographe chrétien de la première époque ndt.) parle d’une secte chrétienne ayant le nom de Marîmiya, et qui prétend que Marie est une divinité, ainsi que Jésus.

La première opinion reste cependant la plus vraisemblable étant donné que tous les chrétiens adhèrent à leur symbole. Tous disent : thâlithu thalâtha. Le Verset en question condamne la Trinité, et dans l’autre Verset : (et ne dites pas « trois » ; cessez, cela vaut mieux pour vous), il est fait juste avant mention de Jésus, mais sa mère n’y est pas citée… »

Remarque :

Selon ibn Taïmiya, les « nazaréens » ont fabriqué une religion à partir de deux origines différentes : le monothéisme prophétique et le paganisme grec auquel ils empruntèrent certaines idées et certaines pratiques.[1]

Dans sa préface de l'histoire du christianisme Ed*ward Gibbon écrit : « S'il est vrai que le christianisme a triomphé du paganisme, il n'en demeure pas moins que le paganisme a réussi à corrompre le christianisme. L'église de Rome a remplacé le déisme pur des premiers chrétiens, par l'incompréhensible dogme de la Trinité. Pareillement, de nombreuses doctrines païennes inventées par les Égyptiens et idéalisées par Platon ont été adoptées parce que considérées comme dignes de foi. »

L’influence du panthéisme hindouiste

Réf. Wiki : Le Dieu des Védas, dans l'acception panthéiste voire panenthéiste du terme, est le Brahman, qui est la Réalité Ultime, l'Âme Absolue ou Universelle (Paramatman), l'Un.

« Tu es la femme. Tu es l'homme. Tu es l'abeille bleue et le vert papillon aux yeux rouges. L'éclair est ton fils. Tu es les saisons et les mers. Tu es le Tout, tu es l'omniprésent ; tout ce qui est naît de toi. »

— Oupanishad.

Le Brahman est l'indescriptible, le neutre, l'inépuisable, l'omniscient, l'omniprésent, l'original, l'existence infinie, l'Absolu transcendant et immanent, l'éternel, l'Être, et le principe ultime qui est sans commencement et sans fin,– dans l'univers entier. Le Brahman (qui ne doit pas être confondu avec la divinité Brahmâ ou le nom des prêtres hindous, les brâhmanes) est vu comme l'Âme Cosmique.

Cet Absolu, que les hindous désignent aussi par le nom de tat en sanscrit (« Cela ») est par sa nature même impossible à représenter. L'Absolu est tantôt manifesté :Tat Tvam Asi (तत्त्वमसि : Tu es Cela), ou « Tout cela est Brahman » disent les Écritures, tantôt non-manifesté : « le Brahman est Vérité, le monde est Illusion », disent aussi les Écritures.

« Il se meut et il ne se meut pas, il est loin et il est proche. Il est au-dedans de tout et il est au-dehors de tout. »

— Iça Oupanishad.

Il est parfois évoqué un Brahman supérieur, le Parabrahman. Le Brahman peut en effet être considéré sans attributs personnels, sans forme (Nirgouna Brahman), d'une façon totalement abstraite, ou avec attributs, avec forme, au travers de la multitude des divinités (Sagouna Brahman).

« Si dans la Multitude nous poursuivons avec insistance l'Un, c'est pour revenir avec la bénédiction et la révélation de l'Un se confirmant dans le Multiple. »

— Shrî Aurobindo

Depuis Georges Dumézil qui a mis en lumière la fonction triadique dans les civilisations Indo-Européennes, un parallèle formel entre la trimurti et la trinité chrétienne peut être établi (ce qui n'induit pas un rapprochement théologique entre les traditions chrétiennes et hindoues) : en effet, en Inde, on représente la divinité comme triple, on appelle ce principe la trimurti dans le panthéon hindou : Brahma, Vishnu et Shiva, sont trois aspects du divin. Brahma désigne symboliquement le créateur, Vishnu représente le conservateur et Shiva représente le destructeur dans le cycle de l'existence. Cette triple Nature se rapprocherait de l'énoncé de l'européen médiéval : spiritus, anima, corpus.

(On prendra garde à ne pas confondre Brahman, l’être suprême et la source ultime de toute énergie divine, et Brahma, le créateur du monde).

À suivre…




[1] Extrait d’el jawâb e-sahîh li man baddala dîn el Masîh d’ibn Taïmiya (voir 4/405- 501 et 5/5-56 avec certaines modifications).

ÑÏ ãÚ ÇÞÊÈÇÓ
  #2  
ÞÏíã 17 Jul 2013, 08:54 AM
ßÑíã ÒäÊíÓí
ÒÇÆÑ
 
ÇáãÔÇÑßÇÊ: n/a
ÇÝÊÑÇÖí




Ibn Taïmiya et la mariolatrie

(Partie 3)

L’avant concile de Nicée

Le conflit sur la nature de Jésus commença, en réalité, bien avant le concile œcuménique qui se tint à Nicée, de la fin mai au 25 juillet 325, et qui eut pour objectif principal de définir l'orthodoxie de la foi, suite à la controverse soulevée par Arius.

Extrait

Dans les années 272-273, l'Église le priera même d'arbitrer "l'affaire Paul de Samosate",[1] qui divisait depuis de longues années la communauté chrétienne d'Antioche.
Rappelons les faits :


Devenu évêque d'Antioche en 260, au lendemain de la cuisante défaite de l'empereur Valérien face aux Perses, ce Paul, originaire de Samosate (auj. Samsat en Turquie) s'était bien vite attiré la haine d'une grande partie de ses ouailles. En effet, l'évêque d'Antioche était devenu le ministre des finances (ducenarius) des souverains de Palmyre et profitait outrageusement de cette double casquette pour remplir sa cassette privée au détriment de ses frères en Christ. De plus, il avait introduit dans la célébration de la Sainte Eucharistie de bizarres coutumes orientales : tandis que lui, juché sur un trône doré, se bidonnait bruyamment en écoutant les Saintes Écritures, il incitait le public à applaudir et à agiter des mouchoirs en signe de joie. Comme au théâtre !… Et que dire de sa vie privée ! Il entretenait trois concubines dans son palais épiscopal et emmenait partout avec lui deux autres jolies jeunes femmes, roses et rondes, qui partageaient aussi bien ses loisirs que sa couche !

Pourtant, poursuivaient ses détracteurs, horrifiés, là n'était pas le plus grave. Le vrai gros problème c'était la doctrine hérétique et blasphématoire que prêchait l'indigne évêque. Il avait ordonné de ne plus chanter les psaumes en l'honneur de Jésus-Christ. Ce n'étaient là, disait-il, que "des œuvres modernes, créées par des hommes modernes". À la place de ces hymnes, il faisait interpréter des chants de son cru, où il prétendait que le Fils de Dieu n'était pas descendu du Ciel ! "Jésus est d'ici-bas !" proclamait-il à tout venant.


Il faut évidemment prendre toutes ses accusations avec une certaine réserve.
Aux yeux des fidèles et des autres prêtres d'Antioche, le grand tort de leur évêque c'était surtout d'être un défenseur du christianisme mésopotamien. Paul, en effet, s'opposait violemment aux innovations philosophiques de l'Église grecque d'Alexandrie, fort à la mode depuis que le savant théologien Origène avait interprété allégoriquement bien des passages de l'Ancien Testament et des Évangiles. Depuis, un fossé immense s'était creusé entre ces Chrétiens hellénisants qui, conformément aux innovations théologiques d'Origène et de ses disciples, considéraient le Christ comme une émanation de la parole divine, comme un Dieu fils de Dieu, et ces vieux croyants araméens, fidèles au message originel du christianisme, et qui ne voyaient en Jésus qu'un homme… un homme illustre et doué de pouvoirs surnaturels, certes, mais rien qu'un homme !



Paul de Samosate s'attira donc la réprobation, de jour en jour plus virulente, de tous ces prêtres intellectuels. Ceux-ci dénoncèrent leur évêque aux autres Églises chrétiennes d'Orient ainsi qu'au pape de Rome. Aussi, dès 261, la crème de l'épiscopat oriental se réunissait à Antioche pour juger l'évêque de cette métropole. Mais tant étaient vives les tensions au sein de ce concile que Paul de Samosate ne put être condamné qu'en 268. Pas moins de sept longues années de disputes passionnées et d'empoignades pour que les Pères conciliaires se mettent enfin d'accord pour excommunier Paul de Samosate ! Ils le sommèrent de quitter le palais épiscopal et de laisser la place à l'évêque qu'ils avaient nommé à sa place, un certain Domnus.


Autant souffler dans une contrebasse ! La décision du concile resta lettre morte : Paul de Samosate disposait de trop puissants protecteurs, en l'occurrence des souverains de Palmyre, désormais maîtres de tout l'Orient romain, pour que quiconque ose toucher un seul cheveu de son crâne.


La situation n'évolua qu'avec la défaite de Zénobie et l'écroulement du royaume de Palmyre (272). Cependant, et contrairement à ce que l'on aurait pu croire, la défaite totale de la soi-disant héritière de Cléopâtre n'avait pas, dans un premier temps, fondamentalement modifié les données du problème : malgré la chute de sa protectrice et sa condamnation lors du concile de 268, l'ancien ministre des finances de la reine de Palmyre refusait toujours de céder l'église d'Antioche à Domnus. Plus que jamais, Paul de Samosate, l'évêque destitué, flanqué de sa clique de partisans syriens et de ses jolies concubines, se pavanait dans son magnifique palais épiscopal, au grand dam des tenants de l'orthodoxie et des moralistes rigoureux.

De guerre lasse, les adversaires de Paul furent donc bien obligés de recourir au jugement de l'empereur Aurélien, qui, par parenthèse, dut être quelque peu surpris d'avoir à intervenir dans cette querelle purement christo-chrétienne. Mais quel que fût l'étonnement du souverain romain, le stratagème des ennemis de l'évêque destitué était fort habile car, en plaçant l'affaire entre les mains d'Aurélien, ils choisissaient aussi le moins impartial des juges. En effet, l'empereur pouvait-il légitimement hésiter une seule seconde entre les deux protagonistes ? Pouvait-il envisager sérieusement de confirmer dans ses fonctions ce Paul, l'un des serviteurs les plus zélés de son ancienne ennemie ? Certainement pas.


Et pourtant l'empereur répugna à trancher lui-même la question. Ces disputes pour des subtilités dogmatiques inaccessibles à la saine raison excédaient sans doute au plus haut point ce militaire réaliste et pointilleux… Quant à lui, il n'avait certainement aucun doute sur la nature purement humaine de ce Christ crucifié - de façon fort peu réglementaire d'ailleurs - sous le règne de son prédécesseur Tibère ! Ayant mûrement réfléchi, l'empereur Aurélien ordonna donc sagement, qu'en dernier recours, l'évêché catholique d'Antioche fût remis "à celui-là à qui les évêques de l'Italie et de la ville de Rome en décideraient" (Eusèbe de Césarée, Hist. Ecclés., VII, 30). Bref, que le pape Félix et ses amis se dépatouillent, lui se conterait de rendre leur décision exécutoire !


En rendant ce jugement apparemment respectueux du libre arbitre du pape, Aurélien savait toutefois fort bien que Félix, évêque de la capitale de l'Empire, n'oserait jamais prendre le parti d'un ancien ennemi de l'Empire tel que Paul de Samosate. Le pape, qui connaissait bien son Aurélien, homme cruel et de courte patience, se doutait que s'il choisissait le mauvais cheval, il lui en cuirait, à lui et à la communauté dont il avait la charge ! Le pape Félix et ses évêques italiens confièrent donc, tout naturellement, les rênes de l'Église d'Antioche à Domnus, le prélat désigné par le concile. Quant à Paul de Samosate, l'évêque déchu, il tomba dans les oubliettes de l'histoire : personne ne sait ce qu'il advint de lui.

http://www.empereurs-romains.net/emp40.htm#pau

Pour de plus amples informations :

http://eglise1piege.unblog.fr/2011/1...dapres-eusebe/


http://www.empereurs-romains.net/emp38.09.htm#paul


http://www.arte.tv/fr/corpus-christi...C=3454620.html

Notons, enfin, que depuis le 2ème siècle, les auteurs chrétiens tels Clément d'Alexandrie ou Origène s'intéressent au platonisme de façon à adapter le christianisme au monde gréco-latin. Origène (m. 253), l'un des premiers Pères de l'Église, est à l'origine de la Lectio divina, fondée sur l'interprétation selon les quatre sens des Écritures.

Les quatre sens sont les suivants :

historique,
allégorique,
tropologique,
et anagogique.










[1] Paul de Samosate a été excommunié par l'Église pour avoir proclamé après avoir médité sur la Création que Issa n'était ni une divinité ni le fils d'une divinité et que seul Dieu pouvait être à l'origine de la Création des cieux et de la terre et non un mortel. Les partisans de Paul ont été surnommés les Pauliniens (à ne pas confondre avec d'autres Pauliniens partisans d'autres Paul comme Paul de Tarse par exemple), mais ils ont quasiment tous disparu environ un siècle après sa mort. Son argumentaire contre la divinité d’Issa nous est essentiellement parvenu d’Eusébe de Césarée. Il ne faut toutefois pas accorder de crédit à la réputation licencieuse que certains de ses détracteurs lui ont taillée, car infondée ; c'était uniquement pour le discréditer lui et ses théories.

Arius n’était que le successeur de Paul de Samosate du fait de leur "hérésie ".


ÑÏ ãÚ ÇÞÊÈÇÓ
ÅÖÇÝÉ ÑÏ

ÃÏæÇÊ ÇáãæÖæÚ
ÇäæÇÚ ÚÑÖ ÇáãæÖæÚ

ÊÚáíãÇÊ ÇáãÔÇÑßÉ
áÇ ÊÓÊØíÚ ÅÖÇÝÉ ãæÇÖíÚ ÌÏíÏÉ
áÇ ÊÓÊØíÚ ÇáÑÏ Úáì ÇáãæÇÖíÚ
áÇ ÊÓÊØíÚ ÅÑÝÇÞ ãáÝÇÊ
áÇ ÊÓÊØíÚ ÊÚÏíá ãÔÇÑßÇÊß

BB code is ãÊÇÍÉ
ßæÏ [IMG] ãÊÇÍÉ
ßæÏ HTML ãÚØáÉ

ÇáÇäÊÞÇá ÇáÓÑíÚ


Powered by vBulletin, Copyright ©2000 - 2017, Jelsoft Enterprises Ltd
Salafi Tasfia & Tarbia Forums 2007-2013