ÚÑÖ ãÔÇÑßÉ æÇÍÏÉ
  #6  
ÞÏíã 22 Sep 2012, 02:32 PM
ßÑíã ÒäÊíÓí
ÒÇÆÑ
 
ÇáãÔÇÑßÇÊ: n/a
ÇÝÊÑÇÖí






Les questions

Question : qu’Allah récompense son Éminence le grand érudit Sheïkh Sâlih el Fawzân pour cette précieuse conférence ! J’implore Allah (U) de rendre utile à tous, ce que nous venons d’entendre ! J’aimerais tout d’abord interroger Votre Éminence sur la campagne de dénigrement qui a eu lieu contre le Prophète (r) dans certains pays non-musulmans. Que pensez-vous, Votre Éminence, de cet évènement, qui somme toute, était prévisible ? Ces caricatures ont un lien avec les changements constatées dans le monde, et les attaques qui se multiplient contre l’Islam. Des attaques qui visent à salir son image et celle des musulmans à travers toute la planète.

En réponse : louange à Allah ! Que les Prières et le Salut d’Allah soient sur Son Messager ainsi que sur sa famille et tous ses Compagnons ! Après avoir entendu un exposé résumé des événements de la période mecquoise, vous ne devez pas être étonné de la réaction des héritiers des mécréants aujourd’hui, ces ennemis des prophètes. Ils ne sont pas simplement ennemis de Mohammed (r), mais de tous les envoyés d’Allah, car il suffit d’en renier un seul pour les renier tous en même temps. Allah (I) révèle à ce sujet dans la sourate les femmes : [Ceux qui ne croient pas en Allah et à Ses messagers et qui veulent faire une distinction entre Allah et Ses Messagers en disant : nous croyons à certains et nous renions certains autres. Ils espèrent ainsi avoir trouvé une voie intermédiaire • Ceux-là sont les vrais mécréants, mais nous avons préparé aux mécréants un châtiment ignominieux • Quant à ceux qui croient en Allah et à Ses messagers, ils ne font pas de distinction entre le moindre d’entre eux ; ceux-là, Allah va bientôt leur distribuer leur récompenser, Lui qui est clément et miséricordieux].[1]

En reniant Mohammed de la sorte, et en le prenant en dérision et pour cible, c’est comme s’ils s’étaient attaqués à tous les prophètes, même ceux auxquels ils prétendent donner foi, et qui ne sont autre que Mûsâ (r) et ‘Îsâ (r). Les prophètes ont en effet une seule religion. Démentir ne serait-ce qu’un seul d’entre eux, cela revient à tous les démentir. C’est pourquoi, des Versets disent: [Le peuple de Nûh a démenti les envoyés],[2] [Le peuple de ‘Âd a démenti les envoyés],[3] [Le peuple de Thamûd a démenti les envoyés].[4] Pourtant, ils n’ont fait que démentir leur propre prophète, mais c’est comme s’ils avaient traité tous les envoyés d’Allah de menteurs, comme le formule explicitement le Coran.

Ainsi, en reniant Mohammed, ils renient leurs propres prophètes. En se moquant de lui, ils se moquent de tous les leurs, car il suffit d’en dénigrer un seul pour les dénigrer tous. Les messagers sont tous des frères, et ils font partie d’une même lignée ininterrompue. Se moquer d’un seul d’entre eux, c’est comme si on se moquait de tous. C’est la raison pour laquelle, le Prophète (r) a dit : « Il ne convient pas au serviteur de dire qu’il est meilleur que Yûnas ibn Mattâ. »[5] Pourtant, Mohammed (r) est le sceau des prophètes et le meilleur d’entre eux. Cela ne l’a pas empêché de prononcer ces paroles. Il veut nous dire qu’il n’est pas permis de distinguer entre les prophètes pour se vanter. En revanche, il est possible de le faire si l’intention est d’évoquer les bienfaits qu’Allah accorde à Ses serviteurs, comme dans le Verset suivant : [Tels sont les messagers ; Nous avons placé les au dessus des autres].[6] Il n’y a pas de mal à vanter la prépondérance du Messager dans l’intention de remercier le Seigneur et d’évoquer les bienfaits qu’Il nous accorde. Le Prophète (r) lui-même déclare à ce sujet : « Sans prétention, je suis le maitre des fils d’Adam. »[7]

En revanche, il n’est pas permis de le faire dans l’ambition de dénigrer les autres prophètes, bien qu’il existe des différences entre eux. Cette question est très importante. Il incombe au musulman de bien la connaitre.

Ainsi, les détracteurs du Prophète ont montré qu’ils reniaient, dénigraient, et qu’ils prenaient en dérision tous les envoyés d’Allah. Ils se sont en effet attaqués au sceau des prophètes, qui est leur Imam et le meilleur d’entre eux.

Question : quelles sont les vraies références auxquelles le jeune musulman doit revenir à l’occasion de ce genre d’événement ? Nous pouvons constater en effet que certains individus s’érigent en mufti en répondant aux questions des autres, sans se référer aux savants, qu’Allah vous comble de Ses bienfaits !

En réponse : ce que nous pouvons recommander aux jeunes, c’est de craindre Allah (U). Nous leur recommandons d’étudier les sciences utiles auprès des savants qui sont connus ; soit à travers un cursus académique, soit à la mosquée où des cours sont donnés. Ils doivent se tourner vers la bonne méthode dans le but de savoir comment se comporter face aux événements qu’ils rencontrent. Cela leur permettra également de s’enquérir des devoirs qu’ils ont envers leurs responsables de l’autorité, leur communauté et leurs frères en général. C’est la recommandation que nous pouvons leur faire.

Ils doivent prendre les sciences utiles entre les mains des savants, avant de prendre la parole. Ils ne doivent pas parler des questions scientifiques alors qu’ils sont ignorants. Même dans la situation où quelqu’un possède une certaine connaissance, il ne doit pas ouvrir certains sujets qui pourraient porter préjudice, conformément à la règle disant qu’il faut éviter un plus grand mal (dar-u el mafsada).

Un jour, Mu’âdh demanda au Prophète (r) : « Ne dois-je pas informé les gens qu’Allah ne châtiera pas celui qui meurt sans ne Lui avoir associé quoi que ce soit ?
  • Non, répondit-il, sinon, ils vont se reposer dessus. »[8]
Il est ainsi autorisé de parfois cacher certains enseignements pendant un période déterminée, dans la situation où leur divulgation engendrerait des inconvénients. C’est ce que réclame la sagesse. Nous recommandons donc aux jeunes de ne pas se précipiter à propager les choses qu’ils ont apprises, si celles-ci risquent d’être mal comprises par certains gens. Dans ce cas, il vaut mieux, attendre une situation plus adéquate pour le faire.

Question : quelqu’un demande : à leur retour de Tâif, le Prophète (r) et Zaïd ibn Hâritha se sont arrêtés à wâdî Nakhla. Vous avez évoqué – qu’Allah vous garde – qu’ils ont notamment prié le fajr sur place. La question est de savoir pourquoi ont-ils fait une prière alors que celle-ci n’avait pas encore été prescrite ? Qu’Allah vous comble de Ses bienfaits !

En réponse : la prière a été prescrite la nuit de l’Ascension, qui fut avant l’émigration à Médine et avant le voyage à Tâif.

Question : certains texto qui circulent sur les portables encouragent à imprimer des livres sur la biographie du Prophète (r) en danois. Ils proposent même un numéro de compte dans une banque pour ceux qui voudraient y participer, mais le problème, c’est que l’auteur de ce texto est anonyme. Quels conseils pourriez-vous donner dans pareille situation ?

En réponse : il ne faut pas tenir compte des messages qu’on reçoit sur les portables, dans la mesure où on n’en connait pas l’auteur. La tâche d’imprimer des livres en danois ou dans n’importe quelle langue revient au Ministères des Affaires religieuses, de la Prédication et de l’Orientation. Ce genre d’initiative relève de ses compétences. Il incombe d’emprunter des voies officielles et notoires et ne pas déléguer ce genre de projet à n’importe qui.

Question : qu’Allah vous comble de Ses bienfaits, Votre Éminence, qu’Il vous bénisse et qu’Il fasse profiter de votre savoir aux gens ! Quelqu’un s’interroge au sujet de trois conceptions erronées (shubha), car il ne peut vous échapper qu’à travers toutes les époques, les dissidents véhiculent dans les rangs des conceptions erronées.
La première prétend que les traditionalistes ont supprimé le djihad.
La deuxième dit que les wahhabites n’aiment pas le Prophète (r).
Et selon la troisième, la lajna dâima (le Comité permanent de la fatwa ndt.) n’a émis aucun communiqué sur le boycott au moment où le besoin d’avoir leur fatwa n’a jamais été aussi grand par le passé. Quels commentaires pouvez-vous faire sur ces conceptions erronées ?

En réponse : concernant la première shubha, nous pouvons répondre que les traditionalistes n’ont jamais supprimé le djihad. Il va sans dire que le djihad est soumis à des étapes. Dans la situation où les musulmans ne sont pas suffisamment forts, ils doivent d’un côté repousser son échéance jusqu’au jour où les conditions et les moyens le permettent. D’un autre côté, les commandes du djihad reviennent au gouverneur ou à son suppléant. Cette initiative relève donc de ses compétences. Sinon, ce serait l’anarchie dans les rangs des musulmans, et nous aurons droit ainsi à la propagation de troubles.

Vous connaissez très bien la situation de certains pays instables, et pour lesquels on avait annoncé le djihad. Certains groupes et certaines tendances avaient pris les choses en mains. Quels furent les résultats ? Ses actions ont fini dans l’échec et l’humiliation, étant donné qu’elles n’étaient pas coordonnées ni soumises à une autorité unique.

Pour la deuxième shubha, celle-ci est liée à la prédication du Sheïkh Mohammed ibn ‘Abd el Wahhâb – qu’Allah lui fasse miséricorde –. Nous disons donc :

Premièrement : sa prédication ne porte nullement le nom de wahhabite, mais cette appellation fut attribuée par les ennemis du Sheïkh Mohammed. Il est entré dans l’usage comme pour le surnom de la secte jahmiya qui fait allusion à son fondateur. Or, contrairement aux jahmites et aux mu’tazilites, Sheïkh Mohammed n’a rien innové. Il n’a fait que reprendre les enseignements du Messager (r). Il incombe donc de parler de prédication prophétique, car tous ces efforts furent concentrés à revivifier la religion du Prophète (r). Il n’a rien ramené de lui-même – qu’Allah lui fasse miséricorde –, alors il ne convient pas de qualifier son action de prédication wahhabite.

Deuxièmement : ceux qu’on appelle wahhabites, vouent un grand amour au Prophète (r). C’est la raison pour laquelle leur prédication bénite invite à se conformer à sa Tradition, et enjoint de prier sur lui et de le saluer, tout comme elle commande de le suivre scrupuleusement et de se soumettre à ses enseignements. En parallèle, elle condamne les innovations et les choses inventées dans la religion. Elle ne fait que suivre les recommandations de ce dernier ordonnant de revenir à sa sunna. Il ne suffit pas de prétendre l’aimer, mais il faut le prouver dans les actes en se soumettant à la sunna. C’est la meilleure preuve d’amour qui soit. Il ne faut pas se fier aux revendications mensongères de ceux qui suivent leurs passions et des mauvais prêcheurs ; ils prétendent l’aimer alors qu’ils ne sont pas fidèles à sa tradition. Les soi-disant wahhabites sont les plus fidèles à la prédication du Prophète (r). Il suffit pour s’en rendre compte de revenir à leurs ouvrages, qui sont publiés et disponibles.

Quant au silence de la lajna dâima, il faut savoir que cette dernière n’est pas une porte ouverte à tous les événements. Celle-ci intervient uniquement en cas de besoin, ce qui n’est pas le cas pour la présente affaire.

Question : les gens furent très touchés par les attaques qui furent lancées contre le noble Prophète (r). Pour exprimer leurs sentiments, ils ont mis sur leurs voitures des autocollants contenant des Versets et des hadîth, voire certains slogans du genre : « Mon honneur contre ton honneur, ô Messager d’Allah ! » ; « Tout sauf Mohammed ! » ; « Mon cou contre le tien ! » Quelles sont les recommandations en regard de la religion que l’on peut faire face à ce genre de réactions ?

En réponse : il ne convient pas de coller des Versets, car c’est ainsi leur faire outrage et leur manquer de considération. Quant aux slogans du genre : « Je me sacrifie pour toi ! » ou « Mon cou contre le tien ! », la chose est beaucoup plus souple. Hassân (t) attaquait les païens à travers des vers comme :

Je mets mon père, plus mon grand-père, plus mon honneur
Pour défendre contre vous l’honneur d’Ahmed

Et le Messager (r) ne le lui a pas reproché. Il n’y a pas de mal à exprimer ses sentiments pour le Prophète (r), et à le défendre à travers ce genre de formules. En revanche, il n’est pas convenable de mettre des Versets du Coran sur le pare-brise de sa voiture, ou sur des murs, car c’est une forme d’outrage au Coran.

Question : au cours de cette campagne de dénigrement, certaines voix se faisaient entendre pour dire qu’il fallait respecter les religions juive et chrétienne, en sachant que, comme vous l’avez souligné, ces deux religions sont falsifiées et furent abrogées par le Coran ?

En réponse : nous respectons la religion originelle, qui est celle de Mûsâ (u), et nous respectons Son Livre, la Thora. Nous respectons la religion de tous les prophètes, mais cela n’est pas le cas pour les religions falsifiées, transformées, et abrogées. Celles-ci ne sont plus des religions célestes. La religion originelle est, quant à elle, authentique et provient d’Allah (Y). Nous tenons en grand honneur la religion de Mûsâ (u) et de ‘Îsâ (u).
Allah (I) révèle : [Dites : Nous avons cru en Allah, aux enseignements qui nous furent révélés, à ceux qui furent révélés à Ibrâhîm, Ismâ’îl, Ishâq, Ya’qûb, et les tributs d’Israël ; comme nous croyons à ceux que reçurent Mûsâ et ‘Îsâ, et ceux que reçurent les prophètes de Leur Seigneur].[9] La foi est composée de six piliers ; la foi en Allah, aux anges, aux Livres, aux messagers, et au destin. Cependant, nous ne donnons aucune considération aux religions falsifiées et transformées.

Or, nous ne nous contentons pas de défendre Mohammed (r). Par Allah ! Si quelqu’un osait dénigrer Jésus (u), nous aurions la même réaction, et, Par Allah ! Si quelqu’un osait dénigrer Moïse (u), nous aurions la même réaction. Nous ne faisons aucune différence entre eux. De ce côté-là, notre Prophète (r) n’a rien de particulier, mais nous devons défendre indistinctement tous les envoyés d’Allah ; nous les honorons et croyons en eux – que les Prières et le Salut d’Allah soient sur eux –.

Question : nous avons une question qui nous vient de Belgique par internet et qui dit : certains gens s’inspirent de l’histoire du Négus sur lequel le Prophète (r) a fait les éloges, bien qu’il n’appliquait pas la Législation divine (Sharî’a) ; ils s’en servent pour donner des excuses aux pays d’aujourd’hui qui sont régis par les lois positives. Cet argument est-il pertinent ?

En réponse : le Négus vivait au sein d’un peuple chrétien qui n’avait pas embrassé l’Islam. Il ne pouvait pas leur imposer l’Islam, alors qu’ils n’étaient pas musulmans. De ce point de vue, il était excusable, mais cela ne concerne pas ceux qui prononcent l’attestation de foi et qui se revendiquent musulmans. Ceux-là sont obligés d’appliquer la Sharî’a à laquelle ils donnent foi. Ils disent lâ ilâh illâ Allah, Mohammed Rasûl Allah ; ils croient au Coran et à la sunna, ce qui les oblige à appliquer la Loi d’Allah pour ces choses. Cependant, nous ne pouvons soumettre les non-musulmans à la Sharî’a, étant donné qu’ils n’y donnent pas foi. Comment pourrions-nous dès lors le faire ?

Question : certains profitent de cette affaire de caricatures pour contester les États musulmans en place et leurs leaders. C’est l’occasion pour monter le peuple contre eux, surtout dans les pays où il n’y a pas eu de réaction officielle contre à cet événement. Comment faut-il réagir face à ce phénomène ?

En réponse : si certains musulmans se chargent de répondre à ces attaques, ils le font au nom de tous les autres, car la nation est soudée comme une seule main, qu’Allah soit loué ! Tout le monde est concerné par l’initiative d’un groupe d’entre eux, qu’Allah soit loué ! Personne ne s’est opposé à cette initiative, et si quelqu’un l’avait fait, nous lui aurions fait savoir que son opposition n’est pas légitime. Or, ce n’est pas le cas. Celui signifie que tous les musulmans sont consentants comme une seule main. Ceux qui affichent leur mécontentement, ils le font pour tout le monde.

Question : une question qui nous vient de France nous dit : qu’Allah vous comble de ses bienfaits ! Comment le Prophète (r) se comportait-ils avec ceux qui prenaient la religion en dérision lors de la période mecquoise ? Et comment peut-on conjuguer entre le fait de devoir se désolidariser des infidèles et en même temps, de souhaiter qu’ils soient guidés et de ne pas leur faire subir d’injustice ?

En réponse : il n’y a pas de contradiction entre ces deux sentiments, pour qu’on puisse parler de conjuguer entre eux. Nous n’aimons pas les païens et nous n’aimons pas les mécréants, mais en même temps, nous ne nous permettons pas d’être injustes envers eux sans raison. En outre, il n’est pas pertinent de se venger d’eux dans la situation où cela a pour conséquence de faire tomber sur nous un mal plus grand. Il faut mettre chaque chose à sa place, comme le veut la bonne sagesse.

Question : comment conjuguer entre le Verset : [Tels sont les messagers ; Nous en avons placé les uns des autres],[10] et l’autre Verset : [Nous ne distinguons pas entre Ses messagers][11] ?

En réponse : le dernier Verset veut dire qu’il n’est pas convenable de reconnaitre uniquement certains messages prophétiques aux dépens des autres. « Nous ne distinguons pas » dans le sens où nous ne renions pas certains messagers, mais cela n’empêche pas au même moment qu’il y ait une hiérarchie entre eux. Le Coran l’affirme explicitement. Les messagers – que les Prières et le Salut d’Allah soient sur eux – n’ont pas tous le même degré. Mohammed (r) est le meilleur d’entre eux, puis, il y a l’Ami d’Allah Ibrâhîm, et vient ensuite le reste du cercles des prophètes résolus (ulû el ‘azm) : Nûh, Mûsâ, et ‘Îsâ – qu’Allah prie sur eux tous –. Ces derniers représentent l’élite des prophètes. Ne pas faire de distinction entre eux consiste à ne renier à aucun d’entre eux.

Je voudrais que vous compreniez les choses telles qu’elles sont, et avant de dire que les textes se contredisent, il faut bien méditer dessus et bien les comprendre.

Question : nous aimerions que Votre Éminence nous cite plusieurs façons pour les gens simples de défendre leur religion et leur Prophète Mohammed !

En réponse : nous disons simplement que les gens simples doivent suivre et imiter les savants qui sont plus à même de percevoir ce qui est bon et ce qui n’est pas bon de faire.

[1] Les femmes ; 150-152

[2] Les poètes ; 105

[3] Les poètes ; 123

[4] Les poètes ; 141

[5] Rapporté par el Bukhârî (3355) et Muslim (2377), selon ibn ‘Abbâs – qu’Allah les agrée son père et lui –.

[6] La vache ; 253

[7] Rapporté par Ahmed (10987), ibn Mâja (4308), et e-Tirmidhî (3615), selon Abû Sa’îd el Khudrî (t).

[8] Rapporté par el Bukhârî (2856) et Muslim (30).

[9] La vache ; 136

[10] La vache ; 253

[11] La vache ; 258





ÑÏ ãÚ ÇÞÊÈÇÓ